Croyances limitantes…

La première fois que j’ai entendu parler de Croyances limitantes ou limitatives, j’étais très perplexe… Selon la théorie, le fait de CROIRE qu’on peut réussir quelque chose enclenche une successions d’actions qui mènent vers la réussite. Et le fait de CROIRE à l’échec nous fait échouer !

C’est fou ! Par exemple, un champion qui a toutes les aptitudes pour décrocher la médaille d’or mais qui doute de ses capacités, a moins de chances d’être médaillé qu’un champion qui croit en lui… Même si d’un point de vue pragmatique ce dernier est moins bien classé que le premier…

Incroyable ! Vous y croyez, vous ? Si oui :

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L’auto-coaching que vous allez vivre va vous transcender !

Croyance primaire

La raison pour laquelle j’ai trouvé que l’idée était étrange, venait du fait que j’ai très mal compris la théorie. Je construisais ce qu’on appelle une «croyance primaire»… Puis je la refusais, la trouvant ridicule !

Qu’est-ce qu’une croyance primaire ? Pour reprendre l’exemple des champions, je pensais que les défenseurs de cette théorie tentaient de me faire avaler que le processus était le suivant :

  1. Ils vont commencer par me faire croire que j’allais gagner un match de tennis contre Rafael Nadal
  2. Parallèlement, ils vont faire croire au champion espagnol qu’il allait perdre contre moi
  3. Je n’ai qu’à taper dans la balle pour gagner le prochain Roland Garros !

C’est vraiment primaire… Je ne suis pas un champion de Tennis ! L’exemple proposé au début de cet article évoque 2 champions de sport. Pas un champion de Tennis et un champion de pizza… Ma façon de déformer la théorie était ridicule ! J’ai appris plus tard, que si je la déformais à ce point, ce n’est pas par manque d’intelligence, mais parce que je ne voulais pas croire que la théorie était vraie !

C’est l’une des conséquences lorsqu’on refuse une croyance : on la déforme ! On la rend disgracieuse. C’est un peu comme si un jeune-homme devait rencontrer une femme extraordinairement belle, un top-model ! Mais ne croyant pas que la relation soit possible, il rate le rendez-vous ! Il reste chez lui… Et lorsqu’on lui demande :

– Mais pourquoi as-tu gâché une telle rencontre ?

il répond :

– Je ne sais pas ce que tout le monde lui trouve, elle a un nez de cochon !

Vous comprenez le principe ? Ne croyant pas en cette relation, il va s’épargner la déception, puis il va déformer la belle pour se convaincre qu’il a raison de ne pas y croire ! En psycho on appelle ça une «dissonance cognitive». C’est  un peu complexe comme concept, mais globalement, ça veut dire que le jeune-homme en question n’est pas de mauvaise foi : il croit en son prétexte : il va vraiment trouver que la top-modèle est trop moche ! Son mensonge va devenir une réalité dans son fort intérieur.

Il sera intimement convaincu… Qu’importe ce que pensent les autres !

Waouw ! C’est compliqué un être humain !

Si vous reconnaissez que nous sommes bien plus que des mammifères :

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J’ai beaucoup de choses à vous dire dans ce programme

Un programme d’auto-coaching sur les croyances

Depuis mes premiers dénis, j’ai beaucoup évolué, j’ai étudié les choses en profondeur, j’ai travaillé sur ma personne, j’ai rencontré des personnes d’exception, j’ai suivi et animé des conférences sur le sujet, j’ai lu des centaines de livres et j’ai découvert des pépites dans mon propre parcours de vie qui reflètent parfaitement cette théorie. Mais en devenant coach,  j’ai surtout aidé beaucoup de gens à reprogrammer leurs croyances limitantes pour les transformer en croyances aidantes. C’est ma spécialité !

J’ai commencé ma carrière de coach il y a 5 ans. Jusque là pour recadrer des croyances, je devais accompagner mes clients : être présent. Mais à mesure que les séances progressaient, je me suis rendu compte que je pouvais leur enseigner la technique afin qu’ils l’utilisent de façon autonome, dès qu’ils en ont besoin.

Vous êtes d’accord avec le fait que plusieurs fois par jour, nous avons besoin de :

  • Faire un calcul mental
  • Mémoriser quelques mots, un numéro un idée, le temps de la noter quelque part
  • Evaluer des priorités
  • Griffoner un dessin ou un schéma
  • Improviser une stratégie
  • etc.

Il s’agit de compétences acquises dans notre parcours d vie, en particulier à l’école. Ca va peut-être vous surprendre, mais nous avons également besoin, plusieurs fois par jour, de recadrer une croyance limitante pour la transformer en opportunité d’action. La croyanec limitante peut surgir n’importe quand, et l’idéal est d’être prêt à l’accueillir avec une bonne boite à outils.

Je vous propose de découvrir ma technique en suivant un petit parcours en 10 étapes. Chaque étape vous permettra de mieux comprendre les mécanismes des croyances, et d’avancer pas à pas dans vos résolutions. Vous découvrirez :

  • Comment naissent les croyances,  la façon dont elles évoluent et dont elles se fanent.
  • A quoi elles servent…
  • Pourquoi certaines croyances dont nous ne voulons pas nous collent à la peau
  • Comment reconnaître une croyance limitante et une croyance aidante
  • Comment lui dire adieu sans se damner
  • Comment tester une croyance avant de l’adopter ou de s’en débarrasser ?
  • Comment aider les autres dans ce domaine… En particulier les enfants.
  • etc.

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C’est un programme ludique, agréable, pratique, qui donne d’excellents résultats

La technique que j’utilise est très simple :

Je recadre des expressions populaires et des citations. Je leur redonne un sens nouveau en leur consacrant une chronique… Je démolis le dicton (souvent avec ironie et dérision), puis je le reconstruis autrement.

C’est tout un art, pour les personnes qui aiment les mots !Et je peux vous garantir que c’et votre cas, car les personnes qui n’aiment pas les mots ont arrêté leur lecture dès le premier paragraphe.

Que pensez-vous du dicton «Oeil pour oeil, dent pour dent» ? C’est une loi terrible, basée sur la vengeance, n’est-ce pas… Eh bien pas du tout ! Les personnes qui ont fait des études de Droit le savent : cette loi est à l’origine de très belles initiatives juridique. Rien à voir avec la loi du talion… Si vous en doutez, il est temps d’entrer dans ce programme, car une fois vos croyances reprogrammées, vous aurez envie de broder «oeil pour oeil, dent pour dent» sur votre oreiller pour faire de beaux rêves.

Bon… J’exagère un peu… Je ne vous recommande pas de faire ça, parce qu’autour de vous, il y a des gens qui vous trouveront bizarre. Mais intérieurement, vous pourrez continuer à vous amuser en observant les gens s’indigner à propos de cette loi, tout en étant intimement convaincu(e) de sa clémence.

Et si je vous disais que lorsque La Fontaine a écrit «tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute», il n’était pas dans la même vibration que le professeur de français qui vous a enseigné cette morale ? Mais alors pas du tout ! Nous pouvons recadrer ça : une personne aussi formidable que vous ne peut pas croire une chose pareille !

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C’est un programme pour les gens formidables !

En recadrant et en approfondissant plusieurs expressions du quotidien, vous allez développer un esprit créatif qui vous permettra de vous débarrasser des croyances primaires que vous vous suggérez régulièrement, et surtout, qu’on vous suggère dans votre entourage personnel et professionnel. Vous serez capable de jongler avec tous types de croyances. Vous disposerez alors d’une aptitude essentielle à tout champion :

Vous développerez le champ des possibles ! Progressivement, des dizaines de choses que vous croyiez impossibles ou très difficiles vont devenir accessibles.

Est-ce que ça changera votre vie ?

Je vais vous dire quelque chose qui va vous étonner : je n’aime pas changer la vie des gens…  Vraiment les gens qui veulent changer de vie m’indisposent ! Je ne sais pas quoi leur proposer en échange d’une vie, ça me paraît tellement précieux !

Par contre, si tel est votre souhait, je veux bien vous aider à améliorer VOTRE vie ! Que de changements en perspective…

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Ajoutez des fleurs à votre vie…

Stéphane SOLOMON
Coach, conférencier et auteur

4 réflexions au sujet de « Croyances limitantes… »

  1. bonjour Stephane

    je vous lis avec intérêt depuis de nombreuses années; en réalité depuis le tout début des programmes de Time Coach avec Annaêlle.
    J’apprécie énormément la démarche de Time Coach, et même si je ne donne pas toujours suite à vos propositions de programme, c’est toujours un plaisir pour moi de lire vos textes qui sont souvent matière à réflexion.
    Aujourd’hui je me suis inscrit à votre nouveau programme parce que je sais que cela va m’ouvrir d’autres pistes de réflexion et aussi parce que j’ai envie de le partager avec ma fille.
    Je pense qu’il doit être possible de lui faire suivre vos messages par mail (il me semble avoir lu une information de ce genre, mais il y a longtemps).
    En tout cas, merci pour votre implication qui ne faiblit jamais malgré les années et les moments parfois difficiles

    Bien cordialement
    Jacques Brisvalter

  2. Bonsoir Stéphane,
    L’erreur d’aiguillage dont vous parlez dans votre erratum a été pour moi bénéfique.
    C’est justement parce que j’ai pu lire le début de votre programme que j’ai eu l’envie de m’inscrire…
    Ce que j’ai fait d’ailleurs car je l’ai trouvé ludique.
    Et j’ai pu y goûter grâce à votre erreur. On appelle ça un échantillon non ?
    A bientôt pour le programme.

  3. Bonsoir Stéphane,
    L’erreur d’aiguillage dont vous parlez dans votre erratum a été pour moi bénéfique.
    C’est justement parce que j’ai pu lire le début de votre programme que j’ai eu l’envie de m’inscrire…
    Ce que j’ai fait d’ailleurs car je l’ai trouvé ludique.
    J’ai pu y goûter grâce à votre erreur. On appelle ça un échantillon non ?
    Peut-être une erreur-idée à creuser…
    A bientôt

    1. Olivier,

      Je vais vous raconter l’une de mes erreurs monumentales (dans TIME-COACH, car j’aimerais en faire profiter plus de monde). Cette erreur-là, lorsque je la raconte, les gens restent bouche-bée. Mais je pense qu’une erreur doit rester une erreur, même si elle a donné de bons résultats en tant qu’erreur.

      Une fois l’erreur reconnue et éventuellement appréciée, vous pouvez analyser ce qu’elle vous a apporté.

      J’ai vu qu’après avoir publié mon lancement avec cette erreur, il y a eu 5 participations en l’espace de 30 minutes. Ce qui est très rare dans TIME-COACH. J’imagine qu’en la laissant quelques jours il yen aurait eu au moins une cinquantaine. Peut-être davantage. J’en conclue que mes lecteurs aiment les interactions (questions/réponses, jeux, discussions). Donc il faudrait multiplier l’expérience, mais pas l’erreur… Ce qui me permettra d’en faire d’autres ! Chouette !

      A++

      Stéphane

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