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Jean-Marie
Jean-Marie
7 années il y a

j’ai toujours du mal à accepter ces réponses “dura lex, sed lex”!!!
Comment aurait réagi l’enseignant si vous aviez proposé d’ aller rechercher vous même ce carnet de correspondance?

chouchou
chouchou
7 années il y a

la preuve d’un monde absurde!

Anne GUARATO
Anne GUARATO
7 années il y a

Comment voulez-vous que nos enfants soient logiques et non stressés…!
Vous avez très bien réagi. Le calme est nécessaire mais pas facile à garder. Bravo d’avoir transformé la panique de votre fille en une véritable joie et complicité. Je pense que maintenant, elle saura prendre du recul par rapport à certaines situations. 🙂

Ainjanii
Ainjanii
7 années il y a

l education nationale est souvent militaire dans son fonctionnement ( pas d exeption !!! tous pareil !!) apparement cette petite fille n a pas l habitude d oublier son carnet ?!!
le terrorisme relationel est omnipresent dans les rapports humains specialement d adulte a enfant ! rigidite mentale autoritarisme pour mieux dominer !!HELA CASSE le merveilleux joyau interieur des enfants !! les adultes sont souvent tres depourvu ; desemparer face a l education PAS DE RESSENTIT qui est SYNONYME DE FAIBLESSE ! BRAVO AU PAPA helas tous les enfants n ont pas la chance d avoir un parent BIENVEILLLANT AIMANT ! MAIS cette nouvelle generation arrive avec une autre conscience ( qui dapasse celle des adultes ! DONC EUX N ACCEPERONT PAS les croyances limitantes ! faisons leur confiance et apprenons des enfants ! C EST TELLEMENT PLUS VIVANT QUE DANS LES LIVRES .

Jacqueline P.
Jacqueline P.
7 années il y a

Pourtant, un papa en chair et en os, ça aurait dû valoir un carnet de correspondance ;-)) Voilà une petite fille qui n’avait pas l’habitude de franchir la ligne jaune et qui tendait à être irréprochable… Elle a grandi depuis et avec un papa aussi bienveillant, elle doit avoir appris, en douceur, la différence entre responsable et coupable !
Je viens de visionner le replay du webinaire du mercredi 14, et l’histoire du choix des parents m’a beaucoup touchée. Arriver à redonner un sens à une histoire de vie aussi douloureuse, c’est magnifique. C’est tellement vrai que le rôle de victime est négatif et n’apporte aucune solution de rebond ! Alors pour une vraie victime, quel tour de force que d’arriver à se remettre sur son locus interne (en français, ce ne serait pas “reprendre sa vie en main” ?), chapeau….
Cette idée d’avoir choisi ses parents, c’est très inspirant. Stéphane, ta fille a choisi de très bons parents : ne serait-elle pas un peu égoïste ? C’est en tout cas la réflexion que je me suis faite pour moi-même, car si je devais choisir maintenant, je me précipiterais chez mes parents ;-)). Jusque là, je me croyais juste chanceuse (gratitude …) mais maintenant, je me dis que si c’est moi qui ai choisi ce bon plan, c’est quand même pour en faire quelque chose de formidable..alors cela me donne matière à réflexion !!!!
Pour en revenir au sujet du webinaire “c’est pas moi, c’est l’autre”, je suis très contente de voir exposer ce que je pensais être très pragmatique : si les autres sont responsables de mon sort, je ne peux rien faire pour l’améliorer tandis que si je suis responsable, les solutions sont dans ma main ; j’ai toujours pratiqué le locus interne, comme Mr Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Mais il y a évidemment un peu plus dans les notions qui nous ont été présentées. J’ai notamment repéré le “responsable mais pas coupable” qui m’a rendue consciente d’un de mes handicaps qui est de faire souvent glisser la responsabilité vers la culpabilité.
Merci Stéphane. Une petite question pour terminer : on peut PWYW en replay ? Question idiote bien sûr, puisque je n’ai qu’à essayer ! Il est donc temps d’aller dormir ..

Clotilde Henry
Clotilde Henry
4 années il y a

Je découvre cet article et il me touche beaucoup. La positivité face à l’absurde et je pousserais même: face à l’adversité. C’est quelque chose qui m’était assez facile mais que j’ai perdu ces derniers temps… Merci pour ce beau rappel!

Daniele
Daniele
4 années il y a

Trans former un temps maussade en un temps partagé et intense est juste magique et inoubliable. C est aussi le rôle du leader de protéger, de montrer d autres chemins, de les assumer, de rendre intéressant, motivant et agréable ce qui pourrait ne pas l être.

Azizi
Azizi
4 années il y a
Répondre à  Daniele

Exactement je pense que le papa a sut faire ce qu’il fallait pour apaiser la douleur de sa fille et en meme temps il est rentrer dans l’univert de sa fille et a cree encore plus le lien entre lui sa fille et l’école

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4 années il y a

[…] Le Temps-Chouquette […]

Karine
Karine
4 années il y a

Choisir et non subir. Et savoir tirer les opportunités d’une situation en toute circonstance. Je retiens pour me faire des chouquettes à la prochaine occasion ;-). Merci Stéphane 🙂

Christophe
Christophe
4 années il y a

Toujours aussi bon le temps-chouquettes.
Même si celui-ci est une façon de transformer un événement négatif en positif, il commence tout de même par une rebellion, rebellion ou révolte souvent vu comme un élément négatif.
Sans rebellion, dans ce cas présent celui de ne pas accepter le système de sanction ridicule en place, sans donc conscience que quelque chose ne tourne pas rond, pas de temps-chouquettes!
La révolte, surtout les petites révoltes, sont une énergie formidable. L’important devenant dans ton exemple de convertir cette énergie en un temps-chouquettes plutôt qu’en une agressivité vis-à-vis de la surveillante.

Le temps-chouquettes fait partie de ma vie depuis maintenant ta première publication. Je t’en serai éternellement reconnaissant.
Encore un exemple ce vendredi, et dans le milieu scolaire aussi. J’ai du aller chercher à l’école ma fille à midi car “malade”. En fait, j’ai vite compris que c’était malade en solidarité avec une copine vraiment malade, qui quitte l’établissement deux secondes avant que j’arrive dans le bureau. Mais l’institution est rigide : si tu dis que t’es malade alors “t’assumes” (elle a 6 ans…) et tu rentres à la maison.
Et pourtant, c’est une très bonne école. Comme quoi, les délires ont la vie dure.
> Transformé en temps-chouquettes, ça donne : “Vient ma fille, ne pleure pas, on va aller regarder les derniers épisodes des Cités d’Or à la maison.” S’en suivra aussi une discussion productive sur la solidarité et la vérité plutôt que l’enfermement dans un petit mensonge qui devient trop grand.
Et un message gentil à la maitresse pour lui rappeler que la solidarité, même détournée, n’a pas à être sanctionné.

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