Skip to content

Mutisme…

Voilà une bonne dizaine de jours que je ne vous ai pas donné de nouvelles. La semaine dernière on m’a envoyé quelques messages sympathiques :

  • Pas de nouvelles bonnes nouvelles ?
  • Vous vous reposez sur vos lauriers ?
  • Quel silence assourdissant !

Rassurez-vous, je ne suis pas parti avec la caisse ;-). Je vous ai préparé quelques articles autour de thématiques fortes, et je dois avouer que malgré mon expérience, l’écriture et douloureuse… Ça m’arrive parfois, lorsque je me dis que je serai mal interprété. Car il y a toujours une différence entre ce que j’écris et ce que vous lisez. Ne serais-ce que parce que je passe 3 heures en moyenne à écrire l’article, et que vous y passez 3 à 7 minutes.

J’aimerais donc que vous compreniez, grâce à cette introduction, que les choix que j’ai fait ne sont pas faciles, et par conséquent, ma Communication s’en trouve affectée.

Mon problème

Mes prochains textes ont pour thématique la reconnaissance. Il s’agit de distribuer des récompenses aux participants du PWYW. Mais je me demande si je dois envoyer ces articles à tous mes lecteurs ? N’est-ce pas cynique d’annoncer à ceux qui n’ont pas participé :

– Regardez tout ce que vous auriez pu gagner, si vous aviez fait un petit effort !

???

Je n’ai pas créé TIME-COACH pour mettre en valeur une élite de quelques dizaines de personnes au détriment de plusieurs milliers. Je me suis donc retrouvé face à ce dilemme :

  • Si je diffuse ces articles à tout le monde, je vais faire des déçus chez ceux qui n’ont pas participé : ce n’est pas cohérent avec ma mission !
  • Si je diffuse ces articles aux seuls gagnants, je prive la majeure partie de mes lecteurs de la conclusion de cet auto-coaching printanier,consacré à la proactivité : ce n’est pas mieux !

Il reste, bien sûr la solution de se défiler… De continuer TIME-COACH comme si de rien n’était. Mais si je n’offre pas les cadeaux que j’avais l’intention d’offrir, je vais garder un sentiment d’inachevé qui risque de me hanter à chaque fois que je vais vous écrire quelque chose.

Que faire ?

Des valeurs, des croyances et des émotions s’affrontent ! Elles créent une sorte d’embouteillage qui m’empêche d’aller de l’avant. Certains d’entre vous me diront :

– Mais faites-le Stéphane ! Je n’ai pas participé au PWYW, mais j’ai de la curiosité pour cette conclusion. Je vais sûrement découvrir quelque chose d’intéressant.

Tandis que d’autres me diront :

– Je ne vois pas dans quel intérêt vous m’envoyez des courriers qui étalent des cadeaux que je ne recevrai pas ! Vous avez dit le mot juste : c’est cynique ! Adressez-les uniquement à ceux que vous appelez «les gagnants», et revenez à la raison de mon inscription : la gestion du temps !

Voyez, je ne peux même pas vous poser la question, car je sais d’avance que je vais recevoir ces deux types de réponses… Je suis obligé de sortir de ce dilemme tout seul ! Une solitude qui se traduit par le mutisme de ces derniers jours…

Stéphane de LA FONTAINE

Vous vous dites peut-être que je raconte ma vie ! Si c’est le cas, nous avons un véritable problème depuis le début : vous n’avez pas compris de quelle façon je mène ce programme… Je vais donc profiter de la situation pour vous l’expliquer :

Comme vous le savez, Jean de LA FONTAINE se servait des animaux pour instruire les hommes. Chaque animal représente un personnage précis ou un type de personnalité. Chaque scène représente un environnement ou une ambiance particulière. Chaque rencontre a du sens… Eh bien, en ce qui me concerne, je me sers de TIME-COACH pour inspirer les auto-coachs. Je ne raconte pas ma vie : je présente des concepts auxquels des êtres sensibles et intelligents se confrontent régulièrement.

Mon problème concerne TIME-COACH, mais si vous l’observez attentivement, vous constaterez que le «modèle» exposé vous est familier, car c’est un «cas d’école» dans la vie d’un décisionnaire, du chef de famille au grand patron. La psychologie cognitive-comportementale l’a clairement identifié, en partant des symptômes : le mutisme, avec une tendance à se plaindre «des autres», ce qui entraine une procrastination, que seule la contrainte peut casser (parfois avec pertes et fracas).

Dans les cas thérapeutiques les plus graves (schizophrénie, bipolarité, etc.), le mutisme peut aller jusqu’à se recroqueviller en position fœtale, et toute tentative de communication peut provoquer de la violence, surtout en vers soi-même (scarification, crise clastique, etc.).

Mais oublions ces cas pathologiques extrêmes pour revenir à l’auto-coaching et aux décideurs du quotidien : savez-vous quel nom on donne à ce type de «cas de conscience» ? J’en ai parlé dans TIME-COACH il y a longtemps… Le modèle général de la tourmente intérieure est le suivant :

  1. Si je fais cette chose, j’en subirai les conséquences !
  2. Si je fais l’inverse (ou l’alternative), ce ne sera pas mieux !
  3. Et si j’essaye d’ignorer le problème, il me reviendra en pleine figure, et se représentera de la même façon ! JE DOIS AGIR, mais que faire ?
  4. Et on reboucle en reprenant le raisonnement en (1), en consacrant une Energie incroyable au problème (alors que la solution est beaucoup moins gourmande).

Comment sortir de la boucle

Le coaching permet de trouver des solution pour passer à l’action malgré ce sentiment «perdant d’avance», notamment grâce à la Programmation Neuro Linguistique (PNL), et à l’Analyse Transactionnelle.

Tout commence par l’identification du problème : il convient de le nommer… De le verbaliser sous la forme «je suis en train de vivre un… ou une …». Ensuite, on peut commencer à entamer un travail passionnant basé sur la créativité. C’est une peu ce que je suis en train de faire !

Si la psychologie est votre dada, si vous êtes coach, ou tout simplement passionné(e) de Développement Personnel, vous avez certainement identifié cette souffrance intérieure. Quel nom porte-t-elle ? Que ce soit en français ou en anglais, pouvez-vous la citer (en laissant un commentaire public de préférence).

Après quoi, je vous proposerai une solution de sortie.

Votre commentaire sera enregistré, mais il n’apparaîtra qu’à 16h00. Il y a donc deux rendez-vous pour deux publics distincts :

  • Si vous connaissez la réponse, vous pouvez la publier immédiatement (ou avant 16h00).
  • Si vous ne savez pas de quoi il s’agit, vous pourrez lire les commentaires à partir de 16h00 (un rendez-vous intéressant à noter dans votre agenda).

A++

Stéphane SOLOMON

0 0 votes
Évaluation de l'article
Je veux être notifié lorsqu'un lecteur laisse un commentaire
Notifier de
guest

32 Commentaires
plus ancien
plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
PETITJEAN
PETITJEAN
9 années il y a

Bonjour Stéphane,
J’ai connu, quelques fois, cette “souffrance”. Je n’en connais pas le nom… par contre, j’ai résolu mon(mes) problème(s) en agissant et non en l’ignorant car il est vrai que soit on a l’impression d’un inaccomplissement, soit on a l’impression de “déranger” les autres. Qu’est-ce qui compte ? L’impression de bien faire ? Ou bien l’impression de plaire ?

Anouche
Anouche
9 années il y a

Je pense qu’il s’agit d’une double contrainte, ou double-bind en anglais. Courage, Stephane, votre situation me paraît “moins pire”, avec des groupes d’interlocuteurs différents qui prennent ces positons différentes, que lorsqu’il s’agit de la même personne, par exemple un parent.

Bien cordialement,
Anouche

Catherine
Catherine
9 années il y a

Votre billet me renvoie à “l’indécision”, qui bloque la réalisation des objectifs et en perturbe leur vision.

Patrick GUILLEMIN
Patrick GUILLEMIN
9 années il y a

http://fr.wikipedia.org/wiki/Double_contrainte
mais aussi
http://fr.wikipedia.org/wiki/Concept_de_limite_(psychanalyse)
./.
Impossible choix et message contradictoire
Le paradoxe de la confusion (fondre ensemble l’un dans l’autre), de la redondance et de la superposition est illustré par certaines gravures de Maurizius Escher où deux figures ou univers coexistent, où des mêmes éléments appartiennent à la fois et en même temps à ces deux figures ou univers.

C’est la configuration de redondance et de superposition qui est la plus générale et la plus évidente pour la frontière ou limite. La redondance n’est pas la répétition à l’identique, mais le déploiement d’une multitude de versions différentes d’un même schéma organisateur, d’une même structure, d’une même fonction ou d’un même comportement.

Le paradoxe du compromis est dans la stratégie double, dans l’unité de temps et de lieu, du message assorti d’un métamessage, comme un geste agressif assorti d’un signal “ceci est un jeu”, révélé par Gregory Bateson. L’expression “à la fois… et…” illustre ce paradoxe du compromis, alors que le clivage est dans l’expression “ou bien, ou bien” du compartimentage.

Le “double bind” est un compromis dans les injonctions paradoxales où pour obéir à l’une il faut désobéir à l’autre, dans la créativité, l’humour et la pathogenèse avec une troisième injonction appelée “injonction-cliquet” qui oblige à choisir dans une situation de choix impossible et qui interdit toute sortie dans le commentaire, dans l’inaction et dans la révolte contre l’autorité externe ou intériorisée qui ordonne.

Le paradoxe du compartimentage est dans la stratégie double où les deux branches simulent l’ignorance mutuelle, comme dans l’expression “que ma main gauche ignore ma main droite”. C’est la stratégie du bâton et de la bonne parole, de l’alliance du sabre et du goupillon, depuis le coup de génie de l’empereur Constantin qui a fait du christianisme la religion d’État de Rome pour armer les légions romaines d’une idéologie conquérante.

Patrick GUILLEMIN
Patrick GUILLEMIN
9 années il y a
Répondre à  Stéphane SOLOMON

Une petit histoire ? Une devinette alors…
Disons que la situation paradoxale dans laquelle tu te trouves..le dilemme :
“- Si je diffuse ces articles à tout le monde, je vais faire des déçus chez ceux qui n’ont pas participé : ce n’est pas cohérent avec ma mission !
– Si je diffuse ces articles aux seuls gagnants, je prive la majeure partie de mes lecteurs de la conclusion de cet auto-coaching printanier,consacré à la proactivité : ce n’est pas mieux !
– Il reste, bien sûr la solution de se défiler… ”

Il faut déclarer hors-jeux, dire que c’est la question qui est fausse..mais comment se rendre compte de cela soi-même ? Dans ton cas tu t’en sorts en disant, “je suis dans un double bind” en espérant que nous comprendrons “par l’exemple”…

C’est un problème soluble si tu te rends comptes, par un moyen ou un autre, que tu es dans une situation paradoxale blocante, sans issue qui nécessite un déblocage avec meta-communication. La logique de notre cerveau est comme celle des mathématiques, elle peut se prendre au piège des paradoxes elle-même.

Avant de donner la solution de Palo Alto à cette énigme, imaginez que quelqu’un a commencé à jouer au ni oui, ni non sans dire comment on sortait du jeux…Quels que soient les propos on pourrait toujours croire qu’on joue encore, alors comment faire sortir le loueur de ce piège…?

Patrick GUILLEMIN
Patrick GUILLEMIN
9 années il y a
Répondre à  Patrick GUILLEMIN

SOLUTIONS
Pour faire sortir nos joueurs du jeu du “ni oui, ni non” il faut entrer en communication avec les joueurs, se mettre à jouer aussi à “ni oui, ni non” à côté d’eux, se débrouiller pour qu’ils observent et s’interrogent “sur ceux qui font comme eux”, au moment u ils réaliseront que les nouveaux venus viennent de se coincer eux-même dans le jeu, ils réaliseront qu’eux aussi sont coïncés. L’incursion des autres joueurs aura provoquer la méta-communication, la remise en cause externe dont les joueurs n’étaient pas capables eux-même.

Dans le cas de Stéphane, c’est nous qui disons “Ah c’est un double-bind” ou “ne te prends pas la tête, sors du cadre”.. mais en disant cela, nous apprenons à utiliser cet outil supplémentaire pour nous sortir plus tard de telles situations..qui nous arrivent au quotidien: “Sois spontané”, “je t’ordonne de m’aimer”, “Je veux que ce soit toi qui commandes !”..et le meilleur pour la fin ” J’aimerais que tu m’offres un cadeau, mais j’aimerais que cela vienne de toi, pas parce que je te l’ai demandé.”

Patrick GUILLEMIN
Patrick GUILLEMIN
9 années il y a
Répondre à  Patrick GUILLEMIN

Référence: “UNE LOGIQUE DE COMMUNICATION” De P. WATZLAWICK, J. HELMICK BEAVIN ET Don D. JACKSON

Fiche de lecture de V. GABRIEL – TOUZET
http://mip-ms.cnam.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?ID_FICHIER=1295877017813

5. LE PARADOXE EN PSYCHOTHERAPIE
L’illusion du choix possible. Suite à une double contrainte, dont nous verrons la définition ci après, aucun changement ne peut se faire de l’intérieur, si un changement est possible c’est en sortant du modèle. Comment provoquer alors avec succès un changement dans un système ? .
I/ Le Jeu sans fin
Le conflit subsiste entre les partenaires parce que ceux ci ne peuvent métacommuniquer sur leur relation. Le paradigme de l’intervention psychothérapeutique peut apporter une solution,
l’essence de l’intervention psychothérapeutique constituant un système nouveau et plus large (à 3 personnes) dans lequel on peut considérer de l’extérieur l’ancien système, mais où le
thérapeute peut faire usage de la puissance du paradoxe en vue d’améliorer les choses : il
imposera de nouvelles règles du jeu, celles qui arrangeront son intention thérapeutique.
Prescrire le symptôme
Par nature, le symptôme échappe à la volonté, il a donc une certaine autonomie, c’est un segment de comportement spontané que le patient éprouve lui même comme quelque chose qu’il ne peut maîtriser. Si l’on veut influencer le comportement de quelqu’un, on peut l’inciter à se comporter comme il le fait déjà ; exemple : « soyez spontané ». Si le thérapeute demande au patient d’agir son symptôme, cette injonction paradoxale impose au patient une modification de son comportement : non plus symptomatique mais spontanée. Le patient sort du cadre de ce jeu sans fin par le biais d’apparition de métarègles. C’est une technique qui peut toutefois sembler en contradiction ouverte avec les principes de la psychothérapie d’inspiration psychanalytique qui proscrit toute intervention directe portant sur les symptômes.

Fabien C
Fabien C
9 années il y a

Je me baserai sur la dramaturgie (que je connais mieux que la psychologie) pour nommer cette souffrance : le dilemme.

Benoit CONSIGNY
Benoit CONSIGNY
9 années il y a

Bonjour,
Je pense qu’il s’agit du dilemme.
Merci pour ces reflexions,
Benoit

PIERRE
PIERRE
9 années il y a

Bonjour à tou(te)s

Cette souffrance intérieure est-elle “LA PEUR” ?

….Mais peur de quoi? de se tromper? c’est en se trompant qu’on apprend …

à suivre

Gérard C
Gérard C
9 années il y a

Quel cinéma Mr Salomon de la Fontaine!
Vos analyses sont instructives, mais tellement orientées…

Bruno
Bruno
9 années il y a

Peut-être faut-il voir ce que l’on gagne plutôt que ce que l’on perd?

Martin
Martin
9 années il y a

Bonsoir !

Pour reprendre le vocabulaire de mes années collège et ramener ce débat de haut niveau… au niveau de pâquerettes, j’appellerais cette souffrance la “prise de tête”
“vas-y comment ça me prend la tête !”
ou comment se créer une réalité intérieure parallèle compliquée, angoissante et irréaliste plutôt que d’agir dans la réalité extérieure et concrète du monde réel.

La solution à cette situation :
“arrête de te prendre la tête !”
😉
(c’est souvent plus facile qu’on ne le croit)

Marie-Pierre
Marie-Pierre
9 années il y a

En fait, ce genre de dilemme est typique de ce qui peut nous faire tourner en rond chaque jour que Dieu fait dès qu’on a une décision à prendre et qui risque de fâcher des personnes que l’on aime… La meilleure façon d’après moi est bien d’en parler aux personnes concernées pour exp(l)oser son problème et ainsi partager la solution à 3 parties (dans le cas où il y a 2 personnes + moi).
C’est peut être naïf ou désuet, mais c’est clair et ça évite de faire monter la tension pour de mauvaises raisons…
Mais ce qui vaut pour 3 personnes ne vaut peut être pas pour 2 groupes + 1 personne…. à moins que… 😉

MARY
MARY
9 années il y a

Désolée je n’ai pas votre niveau .Dans la situation de Stéphane je me demanderais pourquoi faire des cadeaux?:
-pour remercier ou se faire plaisir
-pour se créer un groupe de reconnaissants plus important que de mécontents.
-pour punir ceux qui n’ont pas participé?
-pour encourager ceux qui ont osé ?
Dans cette situation il n’y a pas mort d’homme.Dans une situation grave j’agirais en accord avec mes valeurs et ma conscience tout en sachant que tout dépend de mon histoire personnelle.
Il faut bien prendre des décisions!!!! et une fois fait il faut assumer et accepter (nos faiblesses et nos erreurs d’humain )
Je fais ce que je peux sans me flatter ni me rabaisser .

Beaulieu
Beaulieu
9 années il y a

Bonsoir,

Je viens tout juste de lire votre message.

J’ai participé et vous ai envoyé de l’argent.

C’est donc librement que je vous dirais qu’aider tous les gens ne m’enlèvera rien. Allez-y, publiez et partagez!

Très cordialement

Claire

lalou
lalou
9 années il y a

j’ai un jour lu ce petit mot :
JUST ELEVATE & DECIDE IN THE AIR
autrement dit : “Plonge”
si chaque idée a son mauvais côté, elle a aussi son bon côté.
Et ma petite idée est : envoie à tous, tu seras libéré du dilemme, et laisse tomber l’idée qu’il y aura des râleurs (il y en a tjs partout !!)
Et ne nous laisse pas tomber, car tu avais oublié de parler de ceux qui paient tes COACH

Pascale Z.
Pascale Z.
9 années il y a

Souffrance due à une acceptation restreinte des conséquences à assumer sur la prise de responsabilité mise en jeu… 😉

Myriam
Myriam
9 années il y a

Bonjour,
Je suis étonnée en fait… On ne fait pas les choses en fonction de ce que vont dire les gens ! Surtout sur le web où on lit tout et son contraire et où on a pas la chaleur de la présence pour relativiser.
Il se peut aussi que ça n’ai aucune importance de faire comme ceci ou cela, et de toute façon on sait très bien au fond de nous ce que l’on doit faire, même si on ne comprends pas toujours pourquoi. L’important pour moi est d’écouter ce ressenti et d’y aller ! Tout simplement.
Bon mais là c’est peut-être une autre approche…
Et puis, personne ici n’attend (en tout cas pas moi) de vous que vous vous astreigniez à tant d’écriture aussi souvent.
J’ai un message en mémoire, que j’ai vraiment beaucoup aimé : celui des abeilles messagères d’amour.
À bientôt
Myriam

Auto-Coaching

GRATUIT
VOIR