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Jean-Louis
Jean-Louis
6 années il y a

Bonjour Stéphane,
Moi aussi, j’ai le problème du temps caché mais heureusement, dans mon cas, le client sait que ce temps existe même s’il ne peut bien évidemment pas le quantifier.
On peut élargir le champs à d’autres métiers où le résultat pour le client a beaucoup plus d’importance que le temps passé. Il se trouve que je viens de procéder au chiffrage d’une prestation. En l’occurrence, je me suis surtout référé au temps passé car j’ai encore beaucoup de mal à raisonner en terme de valeur réelle du service mais quand je rapporte ma proposition à l’enjeu de l’opération envisagée, je me dis que c’est très raisonnable.
Le système du “payez ce que vous voulez” me paraît inadapté dans le monde des affaires.
Pour moi, l’important est que les choses soient claires. Dans beaucoup de métiers, il est d’usage d’établir un devis. Dans ma profession, on parle d’une lettre de mission dont la rédaction est d’ailleurs obligatoire. En ce qui me concerne, tout contact sérieux se traduit par un premier entretien destiné à définir précisément les besoins. Dans mon cas, la mission est bien souvent récurrente et le temps passé à la définir n’est pas du temps perdu, loin de là. Cette formule n’est malheureusement pas adaptée à des travaux de courte durée dont l’exécution prend moins de temps que la rédaction d’une proposition détaillée. Je n’ai pas de solution miracle et malgré toutes les précautions que je prends, j’ai déjà du faire face à des malentendus du style : “je croyais que tel travail était compris dans le prix”. Cette remarque peut d’ailleurs être formulée en toute bonne foi. Les expériences malheureuses servent de leçon et permettent de prendre davantage de précautions au fil du temps. Parfois, on ressent de l’ingratitude et c’est certainement le cas du héros de l’histoire. Malgré les échecs, il faut continuer à se laisser guider par des principes de base au premier rang desquels figure l’honnêteté. Je te souhaite de bonnes fêtes

Fabien C
Fabien C
6 années il y a

La solution passe par l’éducation / l’information des gens.
C’est encore du temps caché, plus actif celui-là car le plombier doit faire de la pédagogie, ou écrire un livre, ou faire des interventions dans les écoles pour expliciter ce principe (et celui de la fiscalité française…).
Et il faudrait l’étendre à toutes les autres professions concernées.
Mais l’histoire montre que c’est cette partie éducationnelle qui anime le plombier, notamment sa relation avec son apprenti.
Il finira peut-être par se reconvertir en coach ?

Pirat
Pirat
6 années il y a

En affrontant le quotidien coûte que coûte en restant fidèle à ses valeurs .

Claire
Claire
6 années il y a
Répondre à  Pirat

Oui, c’est ce que je pense aussi: Rester soi-même, en travaillant efficacement, en mettant en avant le résultat du travail, tout en respectant le client.

Isabelle E-C
Isabelle E-C
6 années il y a

Bonsoir

Une de ses valeurs semblent être la transmission . Il a mis à disposition une bibliothèque d’ouvrage de développement personnel et ses outils.
Il coach son apprentis en espérant lui permettre de se mettre à son compte.
Qu’il poursuive dans cette voie en créant une franchise en mutualisant les moyens et en renforçant l’aspect formation et développement de ses apprentis.
Ce serait viable économiquement, gratifiant humainement et moralement.

Marion
Marion
6 années il y a

Bonsoir Stéphane,
J’ai le sentiment qu’Olivier est avant tout animé par une volonté de reconnaissance (de son savoir-faire, mais aussi des efforts déployés pour satisfaire tout un chacun), par la transmission (d’un savoir-faire et d’un savoir-être à son apprenti ) et par des relations harmonieuses avec son éco-système (épouse, clients et apprenti)
Sa « vision du monde «  qui lui semble pourtant empreinte de bons sentiments n’est manifestement pas partagée car, pas comprise où se heurtant à des systèmes de valeurs diffèrents du sien.
Sur le « comment » je suis un peu démunie. Je pense toutefois que cela passe par une communication accrue sur son mode de fonctionnement (et ça passe ou ça casse mais il ne pourra jamais être consensuel).
Par ailleurs, je pense que ses attentes de reconnaissance sont excessives et qu’il faudrait qu’il apprenne davantage à se recentrer sur lui, en étant par ex dans l’appréciation de ce qu’il a pu accomplir.
Bonnes fêtes !

Philippe
Philippe
6 années il y a

Bonsoir,

Allez, je mords dans la carotte : je veux connaître la suite dans l’exercice 2 : voici mon commentaire 😉

Il est clair que le problème d’Olivier provient du manque d’éducation de ses clients face aux coûts cachés mais je pense qu’il provient également de la façon de procéder du plombier : rapide, discret et simple… efficace mais trop !
Alors oui il faut éduquer les clients mais est il vraiment nécessaire de s’impliquer et de dépenser du temps et de l’argent pour cela ?
Il suffit parfois d’un peu de “mise en scène” pour valoriser son travail :
– un coup de fils au client avant le départ de l’entrepôt, sous le prétexte du “J’arrive dans X minutes le temps de préparer le camion spécialement pour vous” (et on justifie implicitement qu’on travaille déjà pour le client).
– Se présenter avec son apprenti par exemple en le faisant monter à l’appartement plutôt que d’attendre dans la rue, ou faire descendre le client sous un quelconque prétexte de vérification afin qu’il constate qu’il y a non pas 1 personne mais 2 : ça double le coût horaire.
– Sans faire prendre directement en charge l’amortissement du camion par le client, il est possible de valoriser son matériel, lui montrer, lui en parler … pourquoi pas lâcher le prix de l’engin (apparemment ça a pas mal d’impact sur l’apprenti)
– Fournir une facture un peu plus détaillée : elle n’aurait peut être pas suffit à faire accepter le prix au premier regard mais le beau-frère avocat aurait certainement anticipé la réaction du juge et pu dissuader le client.
Bref, appliquer à ses clients les principes qu’il applique déjà avec son apprenti.
Comme on dit “un client ça s’éduque!” (en espérant que les miens ne lisent pas ce forum :p)

Cordialement
Philippe

Véronique O
Véronique O
6 années il y a
Répondre à  Philippe

Merci Philippe pour les indications concrètes qui peuvent aider le client à comprendre ou constater et peut-être intégrer quel a été le travail, ce qui le précède et ce qui devra être fait après la prestation. Dans le cas d’un travail accompli, cela se tient et avec du sourire, de l’humour, le client et ou son entourage pourront mieux comprendre que c’est eux qui ont créer le bouchon, qu’ils ont la “chance” d’être en rapport avec un bon professionnel et qu’ils peuvent passer à autre chose, puisque leur problème ou besoin est résolu ou comblé.
Mon métier est : prototypiste,maquettiste, matériaulogue. Les personnes que je rencontre font en général “Ah ! cela consiste en quoi votre travail” et là, j’en ai pour un certain temps en fonction de leur ouverture d’esprit à comprendre du nouveau pour eux; que je réalise dans la matière des objets qui ne sont pas encore totalement défini par le client.
Je ne suis pas dans le cas d’Olivier le plombier qui pratique “un beau métier” connu et défini par sa clientèle.

Si j’ai la chance lors d’un devis, d’avoir une indication de budget, je suis pour ainsi dire sauvée, car j’ai une petite idée du niveau de qualité, de détail et de finition auquel je pourrai répondre, ou pas.
La difficulté est de se positionner et remporter l’affaire, face à des prospects qui ont un budget, ne l’affichent pas et ne savent pas ce qu’ils veulent, tout en pensant qu’ils doivent être attentif à ce qu’ils en aient pour plus que leur argent. Donc négocier mon devis à la baisse, quel que soit sont montant. Souvent ils ont reçu des chiffrages d’entrepreneurs qui répondent par un prix et non par une prestation.

Un couche supplémentaire dans la difficulté de communication est le fait que quasiment tjs le client n’est pas l’usager. Pour un aménagement de musée, par ex, c’est un comité de personnes (de métiers très divers) de la Communauté de Commune qui va regarder quel devis rentre dans l’enveloppe pour l’aménagement des vitrines et le soclage des collections.
Quand je remporte la mission, c’est le personnel de la mairie, les techniciens municipaux, …, voir même le comptable, qui signera le chèque, qui me voient à l’œuvre et constatent que cela ne s’est pas fait en un coup de baquette magique. Mais ce ne sont pas les décideurs de ma prochaine commande qui ont apprécié ma prestation terminée.

J’essaye de remplir ma casserole et vivre de mon travail depuis 1983, je suis souvent découragée par tout ce qu’il faudrait faire en plus d’un travail impeccable pour “éduquer les foules” et les générations montantes sur la qualité d’un travail demandé et que souvent le client qui retient le moins disant n’en aura “QUE” pour son argent dépensé et qu’il faudra en partie ou tout refaire, car cela ne convient pas au besoin mal définit à la base, puisque c’était un prix qui était demandé et non pas une prestation durable de qualité.

J’ai été prof dans une école d’art et une école d’architecture pour mener les étudiants de Design à être en capacité de réaliser de façon tangible leurs projets théoriques. Captivant et très enrichissant de rencontrer des futurs professionnels en leur mettant le pied à l’étrier.
Ma part de transmission je la continue dans du bénévolat par l’intermédiaire d’un association un peu plus large qu’un FabLab et là aussi, je rencontre le problème de : mes conseils n’ont pas de valeurs puisque le bénéficiaire ne voit pas le temps, la matière et l’outillage qu’il a gagné puisqu’il ne s’est pas cassé le nez sur du faire et refaire avant que ça marche.
Aurions nous besoin de pénibilité vécue et ressentie pour prendre conscience de ce que l’on voudra éviter par la suite ?
Combien de temps doit durer la leçon de pénibilité pour qu’on la comprenne et puissions allez directement à la case Efficience ?

christelle
christelle
6 années il y a

Bonjour,et me voilà prise au jeu,
-tout d’abord tout est dans l attitude; il doit “transpirer” “son professionnalisme” tout en étant à l écoute du client(un peu d’empathie) et déjà c ‘est une grande partie ;
-il doit être convaincu de la valeur de son travail grâce à son savoir faire car il y a de la demande donc affiner sa façon de penser pour renvoyer l image et le message qu’il veut faire passer;
Bonne fêtes 😉

Emmanuel
Emmanuel
6 années il y a

Bonjour
Je sèche sur la question; que pourrais-je lui proposer ? Alors je tente par curiosité …
Quelle chance aurait-il de changer le point de vue de son client, de l’éduquer en laissant “par hasard” trainer un livre derrière lui après ses interventions ? ou un article au dos de ses devis et factures ?
Ajouter à sa communication publicitaire, des infos du genre Plombier expert en dépannage rapide – 20 ans d’expériences, 1000h de formation continue, tarif horaire élevé mais prestation courte garantie …

florence
florence
6 années il y a

Bonjour,
Avant-hier, j’avais émis comme piste de proposer des formations de plomberie aux habitants des quartiers. Aujourd’hui, je reste toujours dans cette idée d’éclairer les esprits, non plus directement sur la technique pour apprendre la plomberie, mais en proposant une conférence via une assoc de quartier, où il parlerait de son travail : comment se mettre à son compte, qu’est-ce que ça implique (et là il révèle tout ce qui est masqué aux yeux du grand public : la formation continue, l’achat de matériel, les horaires, la relation client, la fixation des prix, l’organisation, la compta, etc), quels sont ses joies et ses peines dans ce métier (là il peut parler du problème de prix incompris mais aussi de son amour pour ce métier), comment les gens d’ici peuvent suivre son exemple (dans ce métier ou un autre)…
Cela lui permettra de valoriser son parcours, sensibilisera les habitants à un autre point de vue (et ils accepteront alors mieux ses tarifs) et cela aidera peut être aussi les habitants à espérer, à voir que oui, c’est possible d’avoir un autre parcours que celui qu’ils pensent devoir subir du fait de leur condition sociale actuelle. Et là notre plombier aura la satisfaction d’avoir été utile à sa communauté.

Jose
Jose
6 années il y a

Oh le beau cas! 😉

Olivier, déjà, c’est un très beau nom, un arbre précieux, d’un très beau bois qu’on utilise en marquèterie, qui donne des fruits dont on fait une huile magnifique. Des fruits qu’on peut même manger en apéro avec un Spritz, Ricard ou autre. Il y a beaucoup à dire sur ce sujet. Mais je m’égare.

Olivier s’impose un “double bind”. Ma première question est “Pourquoi”! pourquoi vouloir aider des gens qui ne veulent pas l’être? Quelle est cette dette qu’il semble avoir envers son milieu de provenance. Y a t il une culpabilité, et si oui, comment l’expliquer. Si le ressort est la culpabilité, il est face à une croyance limitante qu’il est possible de recadrer. Avec l’aide d’un psy si nécessaire, si ça vient de trop loin. (Même chose si son délire vient d’un abus de stupéfiants, ou d’une addiction aux teletubbies – mais n’avançons pas d’hypothèse hasardeuse, j’en conviens).

Si son besoin de venir en aide à une majorité de la population, la population socialement défavorisée, qui pense que pour gagner on doit peiner, si ce besoin correspond vraiment à son Quoi – après tout, il est un excellent transmetteur de savoir – alors il doit prendre conscience de deux choses:
1- Le fait de gagner de l’argent est un facteur essentiel qui lui permet d’aider les autres, les défavorisés: il doit donc poursuivre dans la voie professionnelle profitable, voire augmenter son revenu vu le défi qu’il se donne (un grand seau pour vider la mer de l’ignorance) et
2 – La meilleure réponse au double bind est de remplacer “ou” par “et”. Il peut donc continuer de travailler ‘riche’, tout en (et) aidant les ‘autres’. Pour cela, il lui faut accepter de découpler les deux activités. Plombier pour le nerf de la guerre (et aider les riches bouchés); leader, formateur, ouvreur de zyeux par ailleurs.

Il peut envisager cette dernière activité – celle qui correspond plus profondément à ses valeurs – de plusieurs manières:
– Coaching de jeunes des quartiers défavorisés, en les aidant à réaliser des projets professionnels artistiques ou culturels, qui en inspireront d’autres – il peut d’ailleurs s’associer avec des avocats, médecins comptables et autres huissiers de justice provenant comme lui de quartiers défavorisés et qui ont le même besoin de contribuer
– Lobbying auprès de la mairie du quartier pour développer des programmes de développement 😉
– Engagement politique – adjoint au maire…
– Engagement associatif, avec l’association “Ni pub ni soumis” (ou autre)
– Sponsoring de l’équipe de foot du quartier, avec un chouette slogan qui galvanise la jeunesse, et interviews d’Olivier dans la gazette sportive (ou twitter account c’est plus moderne)
Etc… ad lib – juste pour exemple

A lui de définir, avec un coach bienveillant et efficace comme lui, la manière qui lui convient.

Jose
Jose
6 années il y a
Répondre à  Jose

Idée congruante en prime: le débouchage reste l’activité principale. Déboucher les canalisations des riches bouchés, et déboucher les yeux et les oreilles de ceux qui croient que peiner c’est essentiel. Et aussi, enraciné dans son terroir, Olivier a la fibre, il est fait de ce bois. Son action portera ses fruits. Il saura remettre de l’huile dans les rouages grinçants de ceux qui ne savent pas encore.

PASCALE PISSARD MAILLET
PASCALE PISSARD MAILLET
6 années il y a

Je suis dans le cas d’Olivier mais ma prestation est intellectuelle donc les gens acceptent plus facilement de payer car ils pensent qu’ils ne sont pas capables d’en faire autant. Je pense aussi que je limite le coût de mes prestations à cause de ce phénomène.
Cependant certains clients sous couvert de taquinerie me font des réflexions . Chaque fois je me sens agressée et je ne manque pas de répondre que si le client le souhaite il peut se passer de mes services; Ce que je propose à mes clients correspond moins à un besoin urgent que déboucher des canalisations, cependant mes clients se rendent compte qu’ils ont besoin de moi. Souvent je prends le temps d’expliquer aux clients , ce qui est compris dans mon prix de journée ( charge ,travail préalable, formation , etc…)
Cependant je pense que je n’ai pas le courage d’Olivier de facturer le vrai prix
Difficile pour moi de donner des conseils ; J’ai plutôt envie de prendre exemple
Je peux juste lui dire : ne change pas c’est toi qui a raison continue la pédagogie et di le client ne comprend pas c’est SON problème , à lui de le gérer

Véronique
Véronique
6 années il y a

Bonjour,

Rien de bien nouveau à proposer en ce qui me concerne, beaucoup de suggestions ont déjà été présentées (et de belle manière). Mais n’est ce pas la quadrature du cercle ? Et n’y a-t-il pas amalgame (ou confusion) entre les deux “contraintes” : être rémunéré à sa juste valeur d’une part et que la facturation soit comprise / admise par les clients ? D’un côté facturer au juste prix le travail réalisé en tenant compte du temps caché (formation, préparation des interventions …) ainsi que du “coût” de l’apprenti et du matériel et de l’autre côté ne pas se sentir “mal à l’aise” que les clients n’adhèrent / n’approuvent pas le prix pratiqué. Ca me paraît relever de deux registres différents … donc à gérer différemment et à tenter de faire cohabiter de la meilleure façon … mais je ne suis pas coach (ni magicienne !) alors je préfère faire une pirouette et laisser le mot de la fin … à Stéphane !

Linard Stefo
Linard Stefo
6 années il y a

Peut-être qu’un peu de pédagogie ferait l’affaire… Expliquer au client le principe du temps caché pourrait faire passer la pilule des 200€. Avec moi, ça marcherait sûrement !

FrédéricV
FrédéricV
6 années il y a

J’avais déjà évoqué le problème de plusieurs valeurs qui se gênent entre elles :
des valeurs de conservation :
un sentiment d’appartenance
des valeurs tournées vers l’autre :
une volonté de bienveillance (de type sauveur ???? y-aurait-il des victimes de ses tarifs ?)
des valeurs de l’affirmation de soi :
des valeur de pouvoir avec richesse et reconnaissance sociale
des valeur de réussite avec des notions de compétence, d’ambition et d’intelligence
des valeurs de changement
des besoins de stimulation avec une vie passionnante

J’aurais tendance à donner une solution du type de celle de José. A vouloir absolument chercher une solution fusionnant toutes ces valeurs, on oublie que notre temps peut se décomposer en des milliers de petits instants qui peuvent être choisis et surtout être différents les uns des autres (ils le sont par nature).

Il me manque dans cette histoire une partie gratitude envers son Amour, celle qui n’a pas forcement cette vocation de “sauveur” et qui organise sa vie pour se synchroniser avec Olivier. Ce personnage mériterait à lui seul une belle histoire !!!!

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